Mode eco-responsable pour homme
| Echoppe Sauvage, première plateforme ecommerce dédiée à la mode responsable pour homme, recherche un associé - community manager - web marketeur.   Annonce n° 16910 - Loire-Atlantique (44) - le 16-01-2020 Chiffre d'affaires : 5 000 € par mois Nombre de commandes : 50 par mois | ||
| Compétences recherchées :Responsable de la comm' Community manager Web marketeur | Recherche :
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| Rémunération envisagée :A voir ensemble. | |||
| Montant total souhaité : 60 000 € | Montant minimum par investisseur : 2 000 € | ||
| Nombre de personne(s) dans le projet : 1 |
Clément
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| Profil de l’équipe et apports :
Moi c'est Clément, j'ai un profil marketing et développement commercial avec une couche webmarketing (stratégie plus que opérationnel). J'ai mis 3 K€ au capital et au total j'ai emprunté 32 K€. Echoppe Sauvage c'est la boutique en ligne dédiée à la mode éthique en France. Je fais de la vente en ligne et également des pop up stores pour rencontrer ma communauté dans la "vraie vie". Je recherche des personnes avec des compétences complémentaires aux miennes. Je gère la relation avec les fournisseurs, la recherche de nouveaux partenaires, le développement commercial et la stratégie. On travaille ensemble la stratégie de comm et web marketing et on se répartit les taches. Pour le moment, on ne peut pas se payer de salaire. C'est un investissement, il faut croire en ce projet et en vouloir. L'ouverture d'un concept store peut également être envisagée. Dans l'attente de vos retours, Clément |
| Description détaillée du projet : Échoppe Sauvage aide à trouver facilement des vêtements éco-responsables, éthiques, équitables. Il y a un an maintenant, je tombe sur une émission de radio qui parle des travers de l’industrie de la mode. Le débat porte sur les conditions de travail dans ce secteur. En 2013, la tragédie du Rana Plaza au Bangladesh, cette usine qui s’effondre emportant avec elle plus de 1 130 vies. Des ouvrières qui confectionnaient des vêtements que l’on retrouve dans les rayons des grandes enseignes de mode. Des ouvrières mortes pour 28 dollars par mois... J’ai clairement pris une claque. Pourquoi moi qui suis sensible à ces questions, je porte des marques qui ne collent pas du tout avec mes valeurs ? J’ai creusé la question. Effectivement, les conditions de travail dans les pays producteurs sont déplorables : – salaires à moins de 50 dollars/mois dans certains pays – travail des enfants en diminution mais encore existant – absence de normes de sécurité dans les bâtiments – parfois plus de 60 h de travail par semaine, heures sup non payées – liste non exhaustive. J’ai également appris que l’industrie textile est la deuxième la plus polluante au monde, 25% des pesticides utilisés dans le monde par exemple. Finalement, c’est le modèle économique qui ne tourne pas rond. Produire toujours plus, faire pression sur les sous-traitants pour produire vite et pas cher. Inciter à consommer, à surconsommer, puis jeter et racheter... Nous sommes de plus en plus nombreux à vouloir que les choses changent. A vouloir consommer autrement, avoir plus de transparence sur les conditions de productions des biens qu’on achète. D’où viennent ces produits ? Quel impact social et sur l’environnement ? En cherchant un peu, j’ai découvert des marques qui font les choses bien et qui méritent vraiment d'être présentées au plus grand nombre. C’est l’objectif d'Échoppe Sauvage, inviter à consommer moins mais mieux, Et mettre en avant les marques qui font les choses bien. |
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